4 principales raisons d’être plus heureux(se) en fin de carrière et se sentir mieux pour la retraite.
Quelle que soit votre activité professionnelle (en entreprise, indépendant(e), cadre dirigeant(e), fonctionnaire, etc.), après la cinquantaine, il est complètement légitime de vous poser de nombreuses questions sur votre présent et sur votre avenir. Des questions autour de votre poste, de votre niveau hiérarchique, de votre implication, de vos responsabilités, de votre équipe, de vos conditions de travail ou de votre évolution. Suis-je reconnu(e) pour ce que je fais ? Suis-je à l’aise avec les règles imposées ? Suis-je en phase avec la politique proposée ? Suis-je récompensé(e) de mes efforts ? Suis-je heureux(se) d’aller au travail chaque matin ? Comment puis-je être plus utile dans mon travail tous les jours ? De quelle manière puis-je être plus heureux(se) pour les années restantes ? Autant de questions censées qui méritent des réponses concrètes. Plus vous serez à l’aise avec vos réponses, plus vous vous sentirez équilibré(e), déterminé(e), enjoué(e) et engagé(e) et plus votre épanouissement aura un impact positif sur votre personne, sur votre entourage et sur votre activité professionnelle.
1. UN ENJEU POUR VOUS-MÊME
Être heureux(se) en fin de carrière, c’est d’abord un enjeu pour vous-même. Mais que signifie être heureux(se) en fin de carrière lorsque l’on a 53 ans, 56 ans, 59 ans ou 64 ans ? La réponse est souvent personnelle, complexe et diverse.
Avez-vous le poste que vous vouliez ? Avez-vous le salaire que vous espériez ? Avez-vous les responsabilités que vous vouliez obtenir ? Avez-vous les équipes que vous vouliez gérer ? Avez-vous les conditions de travail auxquelles vous aspiriez ?
Êtes-vous content(e) de ce que vous faites au quotidien ? Êtes-vous motivé(e) par ce que vous faites ? Êtes-vous sensible à votre domaine d’activité ? Êtes-vous en phase avec votre direction ? Êtes-vous satisfait(e) de votre équipe ? Êtes-vous à l’aise avec votre engagement ? Êtes-vous confiant(e) pour les années futures ?
Le but n’est pas d’opposer ce que vous avez avec ce que vous êtes mais force est de constater que vous êtes en mesure de travailler (encore) mieux si vous êtes (plus) heureux(se). Travailler « mieux » n’est pas péjoratif, cela n’est pas forcément synonyme de performance à outrance, de productivité illimitée ou de dévotion aveugle ; travailler « mieux » peut signifier être plus serein(e), être plus cohérent(e) entre ses aspirations et son activité, avoir trouvé un meilleur équilibre entre sa vie professionnelle et sa vie personnelle ou permettre aux autres de s’épanouir grâce à sa positivité. Et le positif favorise le positif, l’équilibre incite à l’équilibre, la sérénité facilite la sérénité, l’épanouissement inspire l’épanouissement. Ce cercle vertueux paraît simple mais n’est pas forcément pris en compte par les personnes au travail, par leur entourage ou par leur hiérarchie. Plus vous participez à votre satisfaction, plus vous trouvez un sens à ce que vous faites.
2. UN ENJEU POUR VOS PROCHES
Combien de fois votre entourage vous encourage-t-il dans vos actions ? De quelle manière votre entourage essaye de comprendre ce que vous vivez au travail ? Comment votre entourage vous perçoit-il dans votre activité ?
L’intérêt de vos proches est que vous soyez épanoui(e) et heureux(se) dans ce que vous faites.
Vous passez probablement 8 heures, 10 heures ou 12 heures de votre journée au travail, son intérêt est que vous vous y sentiez heureux(se) et que vous rentriez satisfait(e) de votre journée. Qu’il s’agisse de votre passion, de votre vocation ou d’un travail comme beaucoup d’autres, vous y passez la majorité du temps. Vos proches ne veulent certainement pas vous sentir frustré(e), nerveux(se) ou angoissé(e) à l’idée de travailler.
Faire en sorte de gérer au mieux votre motivation au travail, votre enthousiasme et vos émotions peut favoriser grandement le bien-vivre chez vous. Vous faire accompagner peut constituer une solution adéquate pour veiller à mieux appréhender votre fin de carrière et à mieux vivre ce qui vous attend.
3. UN ENJEU POUR VOTRE ACTIVITÉ
Être heureux(se) en fin de carrière n’est pas une obligation certes, mais c’est tout de même plus bénéfique pour vous, pour votre entourage ainsi que pour votre activité. De nombreuses indications émotionnelles ou facteurs psychologiques peuvent déterminer votre niveau d’épanouissement au travail ; de nombreuses statistiques existent pour démontrer les bienfaits ou non de tel ou tel agissement au travail ; de nombreuses formations sont proposées pour motiver tous les collaborateurs. Or tous les collaborateurs ne sont pas « vous ». Et les ressources humaines ne sont pas tout le temps aidées pour proposer à leurs salariés les solutions les plus personnelles et les plus adaptées. Les contextes, les situations, les conflits ou les charges sont différents d'un individu à l'autre.
Vous êtes en mesure de donner le meilleur de vous-même si les conditions qui participent à votre épanouissement sont en grande partie réunies. Il ne s’agit pas d’être heureux(se) à chaque minute de votre journée, mais bien de trouver un sens à ce pour quoi vous êtes fait(e).
4. UN ENJEU POUR L’ENTREPRISE
Il est souvent question du « bien-être au travail » au sein des entreprises, lesquelles prétendent à de multiples avantages : augmentation de la motivation, réduction de l’absentéisme, apaisement des tensions, hausse de la productivité, etc.
Or il n’y a pas une tactique propre, une solution miracle ou réponse magique pour rendre les salariés d’un coup heureux et ce de manière durable. Les team-buildings, formations hebdomadaires ou autres exercices interpersonnels ont très souvent un effet positif durant quelques jours ou quelques semaines. La psychologie, les émotions, la personnalité, le parcours et les objectifs de chaque employé sont autant de spécificités à prendre en considération de manière individuelle. Le bien-être personnel a une influence sur le bien-être professionnel bien plus importante que l’on imagine. Lorsqu’il s’agit de personnes de plus de 50 ans, les enjeux sont encore différents : directions d’entreprises, positionnements hiérarchiques, postes à responsabilité, gestions d’équipes, charges de travail, expériences vis-à-vis des autres collaborateurs, transmission des connaissances, transition avec la future retraite, etc. Le niveau est engageant, le défi est grand.
Image, attractivité, compétitivité et gain d’expérience sont en jeu pour les entreprises et cela a un impact significatif sur leur performance, leurs résultats, leur productivité ou leur réputation. Grâce au coaching psycho-émotionnel, les entreprises ont tout intérêt à repenser l’approche individuelle de la gestion des femmes et des hommes les plus expérimentées qui s’investissent tous les jours en son sein et constituent les premiers témoins et passeurs de leur histoire.
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